26 février 2009

Eu, c'est un peu court

A Eu (76) on veut changer de nom, histoire d'augmenter un peu le tourisme local...

Il faut vraiment n'être pas d'ici, de cette ville élégante et royale nichée aux confins de la Normandie et de la Picardie, pour s'interroger encore sur la difficulté de porter le titre de maire d'Eu, qui a offert jadis son plus fameux couplet à quelque facétieux rimailleur.
« Ça ne me gêne absolument pas ! Eu en deux lettres c'est sympathique ! », s'exclame Marie-Françoise Gaouyer, élue l'an dernier à la tête d'une commune qui joue, depuis toujours, avec ce nom qui lui est autant un handicap qu'un atout. « On doit l'assumer, ce n'est pas toujours facile. Mais nous avons appris à travailler avec, à en faire un sujet d'étonnement, de questionnement et donc de promotion », enchaîne Chantal Atamian, directrice de l'office du tourisme. « D'où notre festival de mots croisés qui rappelle que nous figurons régulièrement dans les grilles, et notre J'Eudois ».

Fans du « trou normand »
« Quand des correspondants me demandent mon adresse, je sens bien qu'ils marquent un temps d'hésitation. Ils ont l'impression que je n'ai pas fini ma phrase… Cela permet de parler de la ville », ajoute Eric Pradels, le patron de la Maison de la Presse.
Sur le marché, dont l'animation vient démentir la définition bien connue des cruciverbistes (« trou normand »), Fernande Clément ne veut pas entendre parler d'un quelconque changement de nom. C'est qu'elle l'aime, sa ville d'Eu. « Internet ou pas, j'ai toujours dit ville d'Eu et ça ne changera jamais ! », insiste Jack Lavoine, 62 ans, habitant rue de l'Europe. « Si les gens connaissent pas, on dit près du Tréport. Ou de Dieppe. Ça situe mieux », enchaîne Jean-Claude Andréoni, du Mesnil-Réaume. « Mais il n'est pas question de changer le nom à cause d'internet ».
Car c'est de là que vient le problème, soulevé par Jacques Richard, président de l'Otsi, déçu de ne voir pas figurer clairement le nom de sa ville sur certains moteurs de recherche. « Eu se trouve noyée au beau milieu de plusieurs pages de réponses », regrette-t-il. « Or, de plus en plus de personnes préparent leurs vacances grâce à l'internet. S'ils ne trouvent pas immédiatement Eu, ils peuvent décider d'aller voir ailleurs ».

Pourquoi pas Eu-le-Château ?
Pour résoudre ce problème, Jacques Richard est intervenu auprès de webmasters. Il suggère aussi d'ajouter un complément au nom de la ville. Pourquoi pas Eu-en-Normandie ou Eu-le-Château, par exemple ? Ce ne sont là que deux suggestions, et rien ne dit que la réflexion entamée dépassera ce stade. En tout état de cause, même si tout s'arrête, le sujet aura au moins atteint un but : celui de faire parler de la ville d'Eu, que le journal anglais The Independant désignait il y a quelques années comme « la ville qui n'ose pas dire son nom ».

Pour l'article entier, cliquez içi.

23 février 2009

La dolce vita (la chanson du dimanche)

Chui malade, j'en profite pour publier la vidéo de La Chanson du Dimanche que Nath m'a filé, C'est bien sympa comme d'habitude.



L'important dans tout ça, c'est la Dolce Vita...

http://www.lachansondudimanche.com/

Je me la pete un peu

Voilà, je me la pete un peu, mes photos ont été publiées sur Schmap, un site qui offre des guides touristiques des villes (cliquez içi) et sur Nowpublic, qu'à son tour a publié mes photos du concert de Mogwai à Milan.

18 février 2009

Dezember Bahnhof & co.

Voilà un petit espace d'autopromotion. Avec un copain, Thomas Valcek, on a crée un groupe sur Flickr qui s'appelle Dezember Bahnhof. Comme le sous-titre en anglais nous explique, c'est:

A place of almost unimaginable power, chock full of dark forces and vicious secrets. No prayers dare enter this frightful maw. The spirits there care not for good deeds or priestly invocations, they're as like to rip the flesh from your bone as greet you with a happy "good day." And if harnessed, these spirits in this hidden land of unmuffled screams and broken hearts would offer up a power so vast that its bearer might reorder the Earth itself to his liking.

Vous pouvez rejoindre le groupe et publier des photos qui appartiennent au champ sémantique du louche, du morbide, des tenèbres et du noir, de l'underground, mais aussi de l'iconoclaste et de l'inconnu!

CoffeeShadow

12 février 2009

Velib' parisiens et bikemi milanais...

Extrait du Parisien.fr:

Côté face, le triomphe. Avec 78 000 utilisateurs par jour, lesVélib’ parisiens affichent une insolente santé. Côté pile, l’hécatombe. Un an et demi Caprès le lancement des bicyclettes en libre-service en juillet 2007, le bilan des vols et des dégradations est lourd. Ecrasant, même. Sur une flotte totale de 20 000 vélos gris, 7 800 se sont purement et simplement volatilisés et 11 600 ont été vandalisés.

Voilés, démontés, cassés, tagués, brûlés, noyés dans la Seine… Les Vélib’ subissent tous les sévices possibles et imaginables. Des petits rigolos ontmême fait un hobby du bidouillage de Vélib’ et se lancent des défis sur Internet.

Déjà 3 257 plaintes

Le gestionnaire du parc, JCDecaux, a fait un calcul édifiant : si l’entreprise —qui effectue 1 500 réparations quotidiennes — s’arrêtait de travailler pendant dix jours, il ne resterait plus aucun Vélib’ roulant correctement dans les rues de Paris… Conséquence : la facture est lourde et même bien plus élevée que prévu pour JCDecaux, qui a déjà déposé 3 257 plaintes. «Même s’il y a des dégradations dans les autres villes où le vélo en libre-service a été implanté (Lyon, Toulouse, Marseille…), c’est dans la capitale que le vol et le vandalisme sont le plus forts », explique-t-on. Il y aurait par exemple deux fois plus de vélos volés à Paris qu’à Lyon… Pour faire face à cette hécatombe, un dispositif d’entretien et de réparation a étémis en place et le parc de vélos a déjà été entièrement renouvelé. Al’avenir, le numéro unmondial
du mobilier urbain aimerait que la Ville de Paris partage la facture. Le contrat signé en 2007 prévoit l’installation et l’entretien des vélos en libre-service contre l’exploitation des panneaux publicitaires de la capitale… Charge donc à Decaux de veiller seul sur son parc sans modifier son dispositif.
Pour limiter la casse, l’entreprise souhaiterait éradiquer les stations les plus vandalisées. Impensable pour la Ville de Paris. Alors que le réseau Vélib’ est en train de s’étendre à 29 communes de banlieue, le bras de fer entre Decaux et lamairie ne fait que commencer.

La situation à Milan...

A Milan, selon la societé Clear Channel il y a une bonne croissance des usagers et avec le printemps ça irait certainement mieux. Pourt l'instant il n'y a pas de vandalisme exacerbé... On reste sur nos gardes....

11 février 2009

Reportage concert Mogwai

Hier je suis allé voir Mogwai en concert. Je l'ai dit à Marie M. et comme elle ne savait pas quel genre de musique ils jouent, Je propose à elle et à vous tous un petit reportage de la soirée au Rolling Stone, Milan.