25 octobre 2008

Yes we can


En ce moment, je suis content d'avoir suivi mes idées aux dernières éléctions politiques en Italie. Mon choix a été le fruit d'une réfléxion liée aux priorités de chacun d'entre nous et aux véritables besoins de changements dans l'esprit du monde. Je n'ai pas fait un choix contre un personnage, pour faire gagner le moins pire: ça a été le choix d'une philosophie pour notre vie commune. Encore une fois, je ne me suis pas resolu à aucun pacte, j'ai fait un choix dont la valeur est absolue, parce que il corréspond à me sidéaux.
Aujourd'hui cette crise démontre que mes idées sont celles qu'il faut suivre, afin d'inverser le status quo, pour choisir une voie plus égalitaire et qui embrasse toutes les populations. Puisqu'on est tous dépédants les uns des autres, puisqu'etre humain c'est ça qui signifie! On voit déjà que certains chefs d'état réfléchissent à propos de ce sujét, premièrement Monsieur Sarkozy. Voilà un article de Libération paru aujourd'hui, samedi 25 octobre 2008.

"Le président vénézuélien Hugo Chavez a estimé hier que son homologue français Nicolas Sarkozy était en train de "se rapprocher du socialisme" et l'a invité à discuter de l'élaboration d'un "nouveau système" pour faire face à la crise financière.

S'adressant directement à Nicolas Sarkozy en l'appelant "camarade", le président vénézuélien a déclaré au cours d'une allocution transmise par la radio-télévision nationale: "Sarkozy, tu es en train de te rapprocher du socialisme, bienvenu au club, ce sont des idées intéressantes".

Il se référait aux positions défendues par le président français pour surmonter la crise actuelle. "Sarkozy est un bon ami, mais lui, il est capitaliste", et cependant "ses déclarations le rapprochent davantage de notre côté", a poursuivi Hugo Chavez.

Pour le président vénézuélien qui veut promouvoir un "socialisme du XXIe siècle", il est "impossible de refonder" le capitalisme. Il faut créer "un système nouveau, avec des différences ici et là, mais il faut que ce soit quelque chose de nouveau. Nous l'appelons sans doute socialisme, (...) tu l'appelleras nationalisme, eh bien, discutons-en", a lancé M. Chavez à l'adresse de son homologue français.

Nicolas Sarkozy "a déclaré que si on ne refondait pas le système capitaliste, il y aurait une révolution à l'échelle planétaire. Eh bien, Sarkozy, ici en Amérique latine une révolution s'est déjà produite il y a un certain temps", a encore déclaré Hugo Chavez qui avait rencontré son homologue français au cours d'une visite officielle à Paris fin septembre."

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